Les attentats créent un climat d’insécurité auquel certains collaborateurs, plus fragiles, se révèlent particulièrement sensibles. Cela conduit de nombreux patrons à adapter leur management et à s’intéresser de plus près à la gestion des risques psychosociaux (RPS), en déclenchant des dispositifs d’accompagnement spécifiques, par exemple des cellules d’écoute psychologique. Pour preuve, au lendemain des drames du 13 novembre 2015, la Fédération des intervenants en risques psychosociaux (FIRPS) a constaté que 80 % des appels reçus émanaient de chefs d’entreprise désireux de mettre en place une aide pour leurs salariés.
Lire l’article des Echos par Julie Le Bolzer